Aprés trois semaines de résidence à Nantes, Jonathan Kemp nous propose ces synthétiseurs low tech composés de terre et de circuits électroniques.
Une installation simple et directe (présentation sur trétaux, difficile à trouver en Grande-Bretagne), une esthétique DIY, laboratoire ouvert où la terre doit être réguliérement acidifié (vinaigre) et mouillé pour pouvoir conduire les sons (signaux électriques).
Pour son vernissage, Jonathan Kemp nous à offert un concert d’une vingtaine de minutes, sons électroniques, buzz de fréquences et sonorités acides de la terre, noise, bruit et puissance électrique.