« sonimaginations tissulaires » une installation audiovisuelle performative
de Katherine Liberovskaya et Guy de Bièvre
Les tissus sont utilisés et considérés tant pour leur qualités visuelles que comme vehicule du sonore (conducteur, interface). Ainsi, les tissus deviennent le lieu de rencontre du sonore et du visuel. Par exemple, comme idée de base, nous pensons à une matière telle l’organza pour sa conductivité d’électricité (pour le son) et la richesse visuelle de sa transparence (pour la vidéo) en tant que matériau de base pour la création d’un environnement performatif (le tissu donc utilisé comme objet matériel et spatial, comme sujet d’image, comme source sonore et comme interface tactile audio)