Solar Return – Hot spring tour 2025

29 mai – Noise2Nowhere – Toulouse


30/31 mai – mtp – Montpellier
+ Lauren Rodz

Lieu : 1 Rue Colin, 34000 Montpellier
Dates : 30 et 31 mai 2025
Entrée libre – Participation suggérée : 7€

Vendredi 30 mai : Concert live du duo Solar Return (Jenny Pickett & Julien Ottavi), avec synthétiseurs modulaires, guitare préparée et percussions augmentées. Une collaboration spéciale avec la percussionniste montpelliéraine Lauren Rodz aura également lieu.
Horaires : Ouverture des portes à 17h30, début des concerts à 21h.

Samedi 31 mai : Atelier participatif sur la musique électronique en collectif, avec exploration de partitions, processus créatifs et expérimentation sonore.
Horaires : Ouverture des portes à 17h30, atelier de 18h à 20h30, concerts à partir de 21h.
Apporte ton matériel : machines, ordinateurs, instruments faits maison, circuit bending, etc.

À propos de Solar Return :
Formé en 2009, Solar Return explore les phénomènes électromagnétiques via des performances immersives mêlant bruit, oscillateurs, antennes VLF et dispositifs DIY. Ils se sont produits à Berlin, Londres, Tokyo, New York, Marseille, Taipei et bien d’autres villes.
https://solarreturn.bandcamp.com
https://facebook.com/solarreturnmusic

Artistes :
Julien Ottavi – artiste, compositeur, fondateur d’Apo33, mêlant art sonore, vidéo en temps réel, technologies expérimentales et performances.
http://noiser.org
Jenny Pickett – artiste et compositrice, membre d’Apo33. Elle développe une pratique hybride mêlant sculpture sonore, installations, performances et électronique.
http://jennypickett.art

4/5 juin – Schader-Stiftung – Darmstadt
+Renata Pekowska

Performance et discussion : The Art of Irreproducibility: An Impossible Loop

Avec Renata Pekowska, Jenny Pickett & Julien Ottavi

Ce projet performatif propose une installation artistique explorant la production de savoir à l’ère de la reproduction numérique, tout en mettant en avant ce qui échappe à toute duplication. Dans un contexte où les technologies digitales favorisent la copie illimitée, The Art of Irreproducibility oppose à cette logique l’éphémère, l’unique et l’imprévisible du geste artistique vivant.

Au cœur de la performance : une partition graphique en perpétuelle évolution, interprétée en direct par les musicien·nes et redessinée en temps réel en réponse au paysage sonore en cours. Cette boucle de rétroaction crée un flux de performances et de notations toujours mouvant, qui remet en question l’idée même d’œuvre originale ou de sens fixe.

L’installation performative devient ainsi un espace de résistance poétique à l’uniformisation algorithmique et aux logiques du capitalisme cognitif. Elle ouvre un champ de pensée sur les formes de connaissance situées, subjectives, partagées, et sur les capacités d’agir des corps et des signes au sein de boucles intersubjectives.

Une discussion collective avec les artistes accompagne la performance. Elle permet d’échanger sur les processus créatifs et les enjeux soulevés, mais aussi d’envisager de futures collaborations autour des pratiques artistiques comme formes de recherche temporairement autonomes dans l’écosystème des savoirs.

https://www.schader-stiftung.de/veranstaltungen/aktuell/artikel/knowledge-in-the-age-of-digital-re-production-responsible-epistemologies