Shoï Extrasystole utilise l’espace et l’outil comme un même organe : c’est un objet intégré au dispositif qui doit vivre et faire vivre, comme un cœur, rendre compte par là même de l’activité de l’installation scientifique de façon pérenne (la radioastronomie et notamment le site de recherche à Nançay).
Le but est de surseoir aux intempéries, aux variations climatiques, U.V., animaux sauvages (la forêt est habitée de sangliers, cervidés…), et de tester certains équipements qui puissent résister aux intempéries : des hauts parleurs et des amplificateurs sont utilisés pour amplifier la résonance de l’installation.
L’oeuvre est mise en vibration par des vibreurs qui transmettent des ondes qui sont des traductions de mouvements fréquentiels de rotation de planètes sur elles-mêmes.
Entrée libre – Plateforme Intermédia – La Fabrique
NEAR III – Digital Antidote
Avec le soutien du Dicream -CNC